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 What does the fox say ? | Hayden [END]

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Hunter J. Hayden


Hunter J. Hayden
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• Ta race : Renard
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MessageSujet: What does the fox say ? | Hayden [END]   What does the fox say ? | Hayden [END] EmptyMer 16 Sep - 20:16



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Hunter Joshua Hayden
 


 

 
• Sexe ; Mâle
   • Âge ; Vingt-sept ans
   • Origine ; Irlandais, eh oui !
   • Race ; Renard
   • Sexualité ; Homosexuel
   • Groupe ; Instable
   • Travail ; Barman
   • Personnage utilisé ; Sakurai Ruka - Tokimeki Memorial

   

   • Ton repas préféré ; La bouffe asiatique, mais sans fruits de mer...
   • As-tu un fétiche ; Que ferai-je sans mes bâtons de cancer, ma chère nicotine ?
   • Dr Pepper ou Coca ; J'ai jamais vu mon prénom sur une bouteille de Coca, alors Dr Pepper.
   • Grand ou petit ; La taille de mes préservatifs ne vous regarde pas ! (Un petit faible pour les grands, des teddy géants quoi.)
   • Ton habit préféré ; Un bon jeans.
   • Ta série préférée ; Je ne regarde pas vraiment la TV...
   • Tu aimes le melon ? ; Oui, mais ce n'est pas ce que je préfère.
   
 


 
Physique ;

 

 

Ce serait mentir de dire que tu es laid. Certes, ton physique n'a rien de bien original (tu n'as pas de crête iroquoise rose ou encore une taille démesurée), mais la finesse de tes traits suffit à te rendre beau. Oui, tu es tout simplement beau en ne portant aucune fioriture. Tu es une personne naturel et c'est ce détail qui plait. Aucune prise de tête, tu ne mets pas des heures à choisir des vêtements qui te plaisent, tu ne passes pas non plus des heures à coiffer ta soyeuse crinière... Bon, parfois tu t'amuses à souligner l'ambre de tes yeux par un trait de khôl, mais ce n'est pas régulier. Tu le fais souvent lorsque tu cherches à plaire, à attirer le regard.

Tu n'es pas vraiment un homme très grand, tu te situes dans une moyenne qui te convient parfaitement. Ton mètre quatre-vingt suffit à ton bonheur. Tu ne fais d'ailleurs pas vraiment attention à ce que tu manges ; tu préfères prendre du plaisir à table et ne pas essayer régime sur régime pour plaire à une société décadente, prônant la minceur. Ton corps est donc relativement banal, tu n'arbores pas des muscles de bodybuildeur. Non, les tiens sont fins et agréables à l’œil. On peut dire que l'escalade t'a aidé à cela, en plus des courses contre la montre au temps où tu travaillais encore en cuisine, suant à cause de la chaleur des fours... Mais, parfois, ce temps-là vient à te manquer. Te souvenir de tes débuts, lorsque les couteaux que tu maniais t'entaillait les mains t'amuses. Tes mains, aux longs doigts prouvant tes heures à jouer du piano, s'étaient rapidement retrouvées en sale état !

Mais la chose que l'on regarde en premier, chez toi, c'est évidement ton visage. Après tout, une grande majorité observe le visage d'une personne, avant de laisser leurs yeux dériver vers le corps, non ? Bref, ton visage possède un menton pointu, tout comme ton museau sous ta forme de renard. Tes traits sont fins et nobles, plutôt anguleux et sans défauts particuliers. Rien ne dévoile l'acné virulente qui t'a atteint lors de ton adolescence, heureusement. Une chose caractéristique chez toi, c'est la forme allongée de tes yeux, signe de l'ascendance guépard de tes gênes. En effet, ton père est un guépard... mais nous en reparleront plus tard. Quoiqu'il en soit, tes prunelles sont une véritable fenêtre sur ton âme : tous tes sentiments y transparaissent avec une netteté que tu abhorres. Une pluie de cheveux aussi blonds que le blé recouvre parfois ton œil droite, mais en général, ta chevelure est attachée. Souvent en queue haute ou en chignon, ils sont toutefois plus courts que durant ton adolescence (merci à l'école hôtelière qui refuse les coupes longues pour les hommes).

Pour terminer, tu es un métamorphe, un renard. Ton pelage n'est, par contre, pas aussi roux qu'il le devrait, la faute au mélange des gênes renards-guépards. En effet, tu arbores une teinte blonde, un peu plus foncées que ta crinière, mais tes oreilles, tes pattes et le bout de ta queue sont étrangement roux. Tu es également plus grand, mesurant un bon quatre-vingt-cinq centimètres au garrot, pour une longueur d'un mètre.
   
 


 
Caractère ;

 

 
« Mais non, je te dis que je ne suis pas jaloux ! »

Menteur. Tu es facilement jaloux pour un rien, un rien qui t'accapare toutefois facilement une bonne partie de ta journée. Non, tu n'aimes pas rencontrer les amis de tes amis malgré ton apparente sociabilité. Tu n'aimes pas voir un couple dans la rue, se rouler une galoche sous un porche. Tu n'aimes pas rencontrer la nouvelle petite amie d'untel, sa popularité, son arbre généalogique aussi rempli que son compte bancaire. L'envie te dévore les entrailles et te tord l'estomac, mais tu n'y peux rien. À chaque fois, tu compares ta vie à la leurs, mettant en parallèle les défauts, les avantages…. Tu n'arrives pas à arrêter d'envier la vie d'autrui, de la trouver toujours plus favorable que la tienne et ce n'est pas faute d'avoir tenté. Tu envies même parfois les cursus scolaires, malgré le fait que le tien soit impeccable et t'ait ouvert de nombreuses portes. Peut-être as-tu peur de perdre un de tes amis en te rendant compte que ce dernier en a une kyrielle ? Peur de te retrouver seul dans ton coin ? Pourtant, il n'y a pas que toi pour envier untel. Non, les autres peuvent également t'envier. Envier ta beauté, parfois même ta plume, ton travail… Mais non, tu ne le crois pas ; "personne ne peut envier un gars comme toi", n'est-ce pas ? Tu ne sais d'ailleurs pas briser les relations qui te sont toxiques, préférant essayer de rattraper le coup : tu rêves de relations authentiques et parfaites, tu t'obstines à rechercher des amitiés incassables, irréalistes... Et dès qu'une de tes relations casse, tu rejettes la faute sur ta personne. Tu n'as pas su sauver cette amitié, c'est de ta faute, uh ?  

Ta peur de la solitude est bien présente, mais tu n'es jamais réellement seul. Ton caractère en attire plus d'un, bien que ta facette grégaire puisse parfois te rendre étouffant. Un joyeux luron. Voilà comment l'on te décrit. Le savais-tu ? Tes connaissances apprécient ta présence, tes blagues ne volant pas toujours très haut et les phrases ridicules de drague qu'il t'arrive de sortir à tout va. Oh, oui, tu es peut-être homosexuel, mais tu adores tout particulièrement accoster une jolie demoiselle dans le but de lui sortir un de tes bêtises ; “ Salut, je m'appelle Prince et je suis charmant. On m'a dit que tu me cherchais…? " C'est peut-être crétin, mais tu te plais à inlassablement faire cela. Du moins, tu n'iras jamais jusqu'à interpeller une inconnue dans la rue, mais ces phrases sont souvent destinées aux amies de tes amis que tu rencontres bien malgré toi.

Cependant, tu n'apprécies que peu la compagnie des humains. Tu arrives à les supporter, mais ne les aimes guère. Ils représentes une nuisance et une grande majorité d'entre eux n'aiment pas les hybrides. Pourquoi s'embêter à les classer ? Il est tellement plus facile de tous les mettre dans le même panier... Mais, Hayden, ce n'est pas parce que tu as vécu une mauvaise expérience avec un humain qu'ils vont tous se moquer. Il faut savoir pardonner dans la vie et ce n'est pas un jeune adulte de dix-huit ans s'étant moqué de toi et de ton homosexualité, qui représente la majorité...

« Putain ! Hayden, t'abuses, t'as encore remplacé les rouleaux de PQ par ton fichu papier indéchirable ! Tu fais chier ! »

Oh, ce n'est pas de ta faute. En voyant des rouleaux de papier toilette incassable en magasin, tu n'as pas pu t'empêcher de les acheter pour faire une petite blague à ton colocataire du moment… Tu es ainsi ; farceur. Également fin stratège, tu n'hésites pas à consacrer de ton temps libre dans le seul but de mettre une farce sur pieds. Néanmoins, tu possèdes également un côté fourbe et sarcastique que tu te démènes à dissimuler dans le seul but que l'on ne pose pas sur toi un regard négatif. Tu restes gentil et, malgré ta grande susceptibilité, continue de sourire malgré la blessure occasionnée, malgré le serpent invisible ayant pris ta gorge en étau. Tu ne veux pas être détesté, tu mets toujours le bien-être d'autrui avant le tien et regrette parfois tes relations à sens unique. Mais, Hayden, lorsqu'une personne te tend la main, pourquoi la rejeter en disant que tout va bien ? Il te faut accepter l'aide d'untel, ce n'est pas une preuve de faiblesse, mais ce que l'on appelle amitié…

« Tu as fini de faire ta valise, Josh ? »

Celle-là, tu l'as souvent entendu lorsque tu partais encore en voyage avec tes parents. Intrépide et curieux, tu aimes entreprendre des voyages, découvrir des choses et être surpris. Tu n'apprécies pas vraiment de rester indéfiniment à la même place, le changement, tu l'attends. Ce côté de ta personnalité ressort également par le fait que tu n'es pas capable de tenir en place sans bouger, sans t'occuper les mains, faire quelque chose. Tu es également une personne plutôt courageuse, même parfois qualifiable de "suicidaire" tant tu peux ne pas faire attention à tes choix. Aussi, avec une langue aussi bien pendue que la tienne, il arrive que tu te montres trop franc...

« Eh, mec ! J'en ai d'la bonne, pas chère en plus. Viens sniffer ça, tu t'en relèveras pas ! »

Ouh, sans doute la face la plus sombre de ta personne. Plus jeune, tu étais accroc à la cocaïne. Tu ne parvenais pas à endiguer ce besoin vital de consommer de la poudre blanche, d'en faire des rails et de tout prendre à l'aide d'une paille que tu te trimballais avec toi. Tu dissimulais même tes petits sachets précieusement. Tu détestais profondément la sensation de manque, celle de se retrouver démuni, entourer de personnes machiavéliques te voulant du mal, être persuadé de crever comme un chien sans ta dose quotidienne… Mais tu t'en es sorti. Un de tes potes l'avait découvert et traîné par les pieds en centre de désintoxication. Tu l'en remercies maintenant, mais, parfois, la tentation est présente. Depuis cet évènement, tu te contentes de fumer des cigarettes de temps à autre, te montrant prêt à aider à ton tour en cas de besoin.

Petit plus : Tu es opportuniste, tu as eu une période végétarienne (qui n'a pas duré longtemps vu tes gênes animales de carnivore), tu aimes le bleu et le gris anthracite, tu t'amuses souvent à te teindre les cheveux, tu veux aller te faire un piercing. tu écoutes du rock et, parfois, de la musique country. Tu adores le chocolat et les jeux d'horreur. Mine de rien, c'est prenant ces trucs.
   
 


 
Histoire ;

 

 

« Les grands voyages ont ceci de merveilleux que leur enchantement commence avant le départ même. On ouvre les atlas, on rêve sur les cartes. On répète les noms magnifiques des villes inconnues. »

Un long soupir s'échappe de tes lèvres alors que tu avises le nombre de voitures alignées l'une derrière l'autre, à l'arrêt, non loin du taxi à la rutilante carrosserie jaune dans laquelle tu te trouvais, depuis maintenant plus d'une heure. La radio crachotait des notes de la célèbre chanson Hey Jude, des Beatles, mais le son de mauvaise qualité ne te permettait pas de faire passer le temps plus rapidement. Tu voyais, d'ailleurs, avec une exaspération grandissante, le compteur du taxi afficher un chiffre toujours plus élevé et, malgré ton air bienveillant de touriste patient, tu rongeais ton frein. Oh oui, tu te retenais de zigouiller ce fichu conducteur qui te faisait tourner en rond dans New-York et tu maudissais tous ces fichus citoyens terminant le travail à la même heure. Tu ne désirais pas rater ton avion en direction de l’Écosse, New-York était certes une ville intéressante, mais tu recherchais un peu de tranquillité. Les gens n'étaient pas foncièrement mauvais, mais leurs hypocrisies à l'égard des métamorphes devenaient agaçantes à la longue, si bien qu'en découvrant l'existence de Stromness, tu voulais y poser bagages. Pour quelques temps du moins.

« - Tu t'casses où, en fait ? Tu m'as dit aller à l'aéroport et tu n'es clairement pas américain, vu ton accent… »

La voix bourrue du conducteur te fait hausser un sourcil. D'où se permettait-il de se montrer aussi familier avec toi ? Néanmoins, il faut bien tuer le temps, alors pourquoi ne pas discuter avec cette homme pour le moins original ? Son sweat arborait le logo d'un quelconque club de sport, n'y connaissant pas grand chose tu dirais hockey sur glace, et ne dissimulait rien de son bidon à bière.

« - Je pars pour l’Écosse, je suis resté à New-York deux bon mois. Et, en effet, je ne suis pas américain. Je suis irlandais.
- Oh, j'avais bien remarqué ton accent ! Tu sais, les New-yorkaises aiment les étrangers, tu as du faire des ravages ici. »

Tu n'allais pas dire à cet homme que, non, les New-yorkaises ne t'intéressaient pas, n'ayant pas ce qu'il fallait pour te satisfaire. Mais le petit sourire que tu affichas à la place ne dissimulait rien de tes pensées. Ne remarquant rien, le conducteur enchaîne sur un autre sujet alors que, en face, des voitures se klaxonnent copieusement. Parfois, une personne ou deux sortent un doigt d'honneur de leurs fenêtres lorsqu'on les dépasse. Fichue circulation.

« - Tu es loin de chez toi. Pourquoi être v'nu ici ?
- Pas que ça vous regarde, mais je suis venu rencontrer un chef cuisinier pour apprendre quelques trucs à ses côtés.
- Oh, t'es cuistot ? On a plein d'gars comme vous ici, plutôt doués en plus. Mais rien vaut les fast food niveau rapidité.
- Si vous le dites… Je peux m'en allumer une ? »

Tu lui désignes ton paquet de cigarettes, des American Spirit, acheté le matin même. Le conducteur hoche la tête en te donnant son briquet d'un rose criard, tu souris. Devant, les voitures se mettent à avancer et, heureusement, aucune ne cale. La circulation parait devenir déjà plus fluide, bien que les nombreux feux virant au rouge te font grimacer.

« - Ton avion est à quelle heure ?
- Oh… dans trois bonnes heures.
- Hm, c'est bon. J'suis un pro, j'vais t'amener là-bas en deux-trois coups d'volant. »

La fumée de ta cigarette s'envole, s'enfuyant par la fenêtre ouverte, rejoignant les autres chapes de pollution. L'odeur de la nicotine vient rapidement couvrir celle, plus sucrée, des donuts que mangeait le conducteur avant ton arrivée. Petit à petit, ton regard se perd vers l'extérieur, vers les bâtiments colorés que tu vois de manière un peu floutée par la vitesse, les passants déambulant tranquillement dans les rues commerçantes...

Oui, tu es venu ici peu après ton diplôme en école hôtelière, dans le seul but de t'améliorer encore un peu, désireux d'apprendre. Tu aurais dû rester à New-York pour une bonne année au minimum, mais l'atmosphère qui régnait en cuisine t'a profondément déplu. Tu aimes profondément la cuisine, préparer des plats et faire plaisir aux papilles de tes clients, mais ici, il n'y avait plus que de la rivalité. Les clients passaient en dernier et ce détail t'a dégoûté. Peut-être que travailler en cuisine ne te convenait finalement pas, toi qui ne possédais que peu de plaisir à la concurrence ? Tu as donc démissionné auprès du chef, prétextant un mal du pays dérangeant, et t'es acheté un billet pour une autre contrée dans la journée. Orcades. Tes parents en parlaient souvent, lorsque vous voyagiez. Italie, Espagne, République dominicaine, Japon… Tu as vu de nombreux pays et ne t'en lasses toujours pas. La chance semble avoir brillé au dessus de ton berceau puisque tu es né dans un couple de globe-trotteurs, des amateurs du voyage possédant une patience à toute épreuve. Vous ne restiez jamais plus de deux ans dans un pays, aimant le fait de découvrir, de devoir s'adapter… Si bien que, dans tes bagages, se trouve un livre de souvenir empli de photos colorées retraçant ta vie, annotées de tes avis sur tel ou tel pays. Il est aisé de se rendre compte de la différence d'écriture et de mots au fil des ans. Une sorte de journal intime. Tes parents t'ont conçu en Polynésie Française, mais tu es né en Irlande, pays natal de ta mère. Fils d'une renarde et d'un guépard, tu reçus un parfait mélange des deux espèces, le renard dominant toutefois sur le reste. Tu es resté en Irlande, à Dublin, pendant quatre ans avant de, pour la première fois, découvrir les joies de l'avion. Pour l'anecdote, tu as eu si peur de prendre l'avion qu'une fois à bord, tu as pissé dans ton pantalon en répandant de ta morve dans le décolleté de ta mère…

Tu as donc grandi dans l'amour des voyages, ne pouvant jamais réellement te faire d'amis puisque tu savais que peu de temps après, tu les quitterais. Tes premiers pays furent le Québec, le Canada, la Belgique et la France. Tu appris donc avec ton père à parler français, puisque tu y fis une bonne partie de ta scolarité. Inutile de dire que tu eus de la peine, mais ta mère t'aida énormément à maîtriser cette langue et maintenant plus grand, tu lui en es reconnaissant. Grâce à ces nombreux voyages, tu appris donc à parler français, allemand et espagnol, mais tu rechignas, lors de ton périple en Russie, à en apprendre le dialecte. Lors de ton séjour en Allemagne, ta mère te paya des cours de violoncelle puisque, après avoir assisté à un orchestre, tu avais supplié cette dernière des jours durant. Depuis, cet instrument te suit partout, d'appartement en appartement. Tu ne cesses d'y jouer pour t'améliorer durant ton temps libre.

À tes dix-huit ans, tu t'envolas avec ta famille pour la Suisse, des amis voyageurs vous ayant conseillé cet endroit. Tu t'y sentis immédiatement comme chez toi et fit même le souhait d'y étudier la cuisine, dans la grande école hôtelière réputée de Lausanne. Les tests d'entrée ne furent pas évidents, mais grâce à ta connaissance de plusieurs langages, tu réussis sans trop de problèmes, faisant ainsi la fierté de tes parents. Malheureusement, la longue chevelure blonde que tu choyais dû être coupée, les étudiants masculins n'étant pas autorisé à porter les cheveux longs. Tu grommelas énormément à ce sujet, mais ta joie d'être accepté dans cette école prit le pas sur ce sujet et, de toutes manières, ta crinière repousserait. Ainsi, vous demeurèrent pour une fois plus de deux ans, te permettant ainsi de terminer tes études en toute tranquillité, te donnant la possibilité de travailler dans les restaurants les plus réputés. C'est la raison pour laquelle tu partis à New-York, quittant par la même occasion tes parents pour vivre par toi même…

Une main sur ton épaule te fit sursauter, te sortant de tes pensées. Le conducteur te dit de sa voix lourde que vous étiez arrivés et que la cendre de ta cigarette salissait ton pantalon. C'est presque avec un sourire malsain qu'il t'annonce le prix à payer pour la course, te faisant par la même occasion hoqueter… Tu paies tout de même, voyant avec tristesse ton porte-monnaie se vider, mais la vue de l'aéroport te rassure quelque peu. Tu sors de la voiture sans un mot, récupérant tes bagages et, les cheveux au vent, caressant tendrement tes omoplates, tu t'avances pour prendre l'avion. C'est sûrement dans ce genre de situation qu'il est d'usage de dire " Stromness, me voilà " non ? … Non, c'est bien trop cliché…
   
 


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SHERKAN ;

 

 
• Comment es-tu là ; HINHINHIN
   • Code ; Le meilleur des chiens qui soit, daro?
   • Pays ; Switzerland !
   • Âge ; pwet
   • Sexe ; BOOBS !
   • Cookies ou brownies ; Brownies
   • Yaoi ou Yuri ; Yaoi, Yuri, Hentai... TOUT !
   
 

 
© Flyremoon.

 


Dernière édition par Hunter J. Hayden le Dim 20 Sep - 23:24, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: What does the fox say ? | Hayden [END]   What does the fox say ? | Hayden [END] EmptyJeu 17 Sep - 2:09


Alors, rebienvenue. Oui, rebienvenue, petit chenapan ♥

Ton vava, il est toujours à croquer et j'aimerais bien partager cette glace avec lui oQo Tu crois qu'il me laisserait passer un coup de langue, hm? ♪ Sinon, je crois bien que c'est la première fois que je te lis avec une narration au « Tu ». Pour être franche, j'ai beaucoup aimé ce style d'écriture de même que beaucoup aimé ton caractère, vraiment un personnage intéressant. Il me tarde de voir ta fiche complétée, je suis sûre qu'elle va être des plus délectables! Sur ce, bien du courage pour l'écriture, je t'envoies des bonnes ondes par la pensée èwé

Au plaisir de se croiser sur la CB ou in rp ~

ÉDIT : ET PUTAIN J'AI OUBLIÉ DE TE DIRE QUE TU M'AS FOUTU CETTE CHANSON DANS LA TÊTE D8<
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MessageSujet: Re: What does the fox say ? | Hayden [END]   What does the fox say ? | Hayden [END] EmptyDim 20 Sep - 22:48

Merci Allen ! Viens donc lécher cette glace avec moi, hinhin ! Je te fais une place... Eh oui, c'est la première fois que je me frotte à une narration en « tu » ! J'espère que le rendu est pas mal ♥

Eh j'annonce avec fierté que ma fiche est terminée !
Plus sérieusement, j'ai comme à mon habitude écrit mon histoire sans prise de tête, je n'ai rien corrigé... Je suis un mauvais membre, tuez-moi à coup de dictionnaire /PAN

Bisou sur la raie c:

WHAT DOES THE FOX SAY ? DING DING DING DING DING !!
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MessageSujet: Re: What does the fox say ? | Hayden [END]   What does the fox say ? | Hayden [END] EmptyLun 21 Sep - 0:02


Et j'ai désormais l'honneur de t'annoncer que tu es validey ♥ Pour être franc, je me suis perdu dans la lecture, j'ai complètement dévorer ta fiche des yeux, je m'en suis délecté. C'est la première fois que tu uses de ce style d'écriture? On ne le dirait pas, les tournures de phrase sont si bien maniées que c'en est envoûtant. D'autre part, j'ai sérieusement adoré comment tu as présenté ton histoire, comment tu as emmené chaque élément. Tous les petits détails que l'on retrouve alors qu'il est assis dans le taxi sont charmeurs, réellement. On a une très bonne image de ce que tu veux décrire, c'est magique de même qu'original. Je me disais ; « Bon, je termine ce paragraphe et je vais regarder la cb. » Termine ledit paragraphe. «... Bon un autre. Puis un autre. Puis un autre.» Bref, j'ai adoré et je n'ai pas un seul instant vu le temps passé, c'est une excellente fiche à mon opinion et il me tarde de te voir le jouer sur le forum, de même que de l'observer évoluer.

Bref, le jeu t'es désormais ouvert, mais n'oublie pas de recenser ton avatar ICI et ton métier ICI, de faire ta demande de logement ICI ainsi que de rang ICI si tu le désires.

Sur ce, au plaisir de se croiser en CB ou in rp ♥♥♥
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