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 La dignité s'immole à la tolérance. [Weemyss Kyle]

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Weemyss Kyle

Humain

Humain
Weemyss Kyle
• Ta couleur : #99CCCC
• Ton boulot : Serveur un soir sur deux au pub de la ville
• Ta race : Humain
• Messages : 5
• Date d'inscription : 26/07/2015



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MessageSujet: La dignité s'immole à la tolérance. [Weemyss Kyle]   La dignité s'immole à la tolérance.   [Weemyss Kyle] EmptyMar 28 Juil - 20:31



La dignité s'immole à la tolérance.   [Weemyss Kyle] 98712420150727132519


Weemyss Kyle



• Sexe ; Masculin. Ça te surprends ?!
• Âge ; 22 ans
• Origine ; Anglaise
• Race ; Humain
• Sexualité ; Homo
• Groupe ; Citoyens
• Travail ; Serveur un soir sur deux au pub de la ville.
• Personnage utilisé ; Superbi Squalo - KHR


• Ton repas préféré ; Tout ce qui est épicé.
• As-tu un fétiche ; Le requin blanc
• Dr Pepper ou Coca ; Coca Cherry !
• Grand ou petit ;  Les deux sont biens, non ?
• Ton habit préféré ; Mon long manteau de cuir !
• Ta série préférée ; Je regarde pas la télé.
• Tu aimes le melon ? ; Non, ça n'a pas de goût.


Physique ;


L'apparence de Kyle est plutôt originale.
Atteignant l'humble taille d'un mètre soixante quinze, son corps svelte est bien proportionné, dévoilant quelque muscles discrets au niveau du torse et des bras, couverts par une longue et soyeuse chevelure blanche aux reflets cendrés inondant de mèches lisses et impeccables, son visage pâle au traits doux. Bien qu'on prenne parfois Kyle pour une fille à cause de cette audacieuse coupe de cheveux, celle-ci suscite la fierté du jeune homme qui la considère comme son atout le plus précieux. Néanmoins, beaucoup pensent que les traits fins de son visage demeurent la partie la plus attrayante de son corps... De même pour ses yeux en amande couleur bleue dragée. De fines lèvres viennent parfaire le tout, ajoutant à son profil une touche de féminité s'accordant avec son teint blême, sans pour autant ébranler la forme masculine de sa tête.

Il choisit généralement des vêtements souples et légers pour travailler, tels que chemises noires ou blanches, ainsi que jeans aux coloris variés, sinon,
dés lors qu’il s'aventure hors de son appartement, Kyle enfile un long manteau noir disposant d’une capuche à fourrure qui le caractérise.
Une paire de gants blancs vient parfaire le tout, ajoutant à son style une touche classe et sophistiquée.



Caractère ;


Kyle est un homme de confiance. Il lui est impossible de rompre une promesse ou de dévoiler un secret, du moins de son plein gré. Derrière cet air renfrogné et son attitude souvent désinvolte, se cache en effet une personne très mature, douce et sensible malgré toute la jalousie qu'elle peut contenir. Il n'y a qu'à voir l'ombre dans son regard lorsque Calleïm s'occupe un peu mieux d'un autre que lui, et ce n'est qu'un exemple parmi des centaines.

Il surveille son protégé du mieux qu'il peut, allant même jusqu'à l'engager comme escort afin de se trouver à ses côtés, bien qu'il soit persuadé que cette profession comprend parties de jambes en l'air et autres fantaisies de ce genre, chose qui ne le laisse pas de marbre malgré son silence.

Il faut dire que Kyle se plaint très rarement. L'on pourrait même penser qu'il se soumet à Calleïm, ce qui n'est pas totalement faux en vérité. Bien souvent il cède à ses désirs, sauf quand cela concerne sa santé ou quelque chose d'aussi important.

L'affection qu'il lui porte est d'une inestimable grandeur, et celui qui blessera un jour son métamorphe favori se verra pourchassé, frappé, et peut être tué ? Kyle n'abandonne jamais ce qu'il entreprend, et sa ténacité peut s’avérer terrifiante. Il a beau avoir le sens des responsabilités, sa rancune n'a pas de limite lorsqu'on touche un peu trop fort à son protégé.

Cependant, il a bel et bien conscience que sa force ne dépasse pas forcément celle des métamorphes ( et de nombreux humains également, bien entendu). Il a beau disposer de muscles et de réelles capacités pour se défendre, le jeune Weemyss a tout de même ses limites.

Par ailleurs, sa frustration atteint son paroxysme lorsqu'il se trouve dans l'incapacité d'aider Calleïm. Il faut dire que Kyle fait preuve d'une exigeance sans nom avec lui même, et déteste se sentir inutile vis à vis de ami métamorphe.

Au quotidien, sa franchise ne lui fait pas défaut ; certains l'associent à une certaine arrogance qui complète son fort caractère. Il reste néanmoins respectueux et poli avec ses interlocuteurs, en général. Jamais il ne juge le physique d'une personne, aussi originale soit elle. Comme quoi, il serait dommage de se fier à son apparence qui dissimule en réalité une âme dynamique, fidèle et parfois très douce.

En effet, Kyle a un côté affectueux et tendre qu'il montre rarement, et jamais à n'importe qui, tout comme le plaisir éprouvé lorsqu'on touche à sa longue chevelure. Il adore ça et affirme pourtant le contraire. Il tient tant à sa dignité qu'il lui est difficile d'avouer quoi que ce soit de délicat à son sujet, du moins tout ce qui pourrait s'apparenter à un point faible.



Histoire ;


Tu es comme moi.

Nous sommes tous pareil. Humain, métamorphe, quelle différence ? Nous venons tous de la même planète, de la  même terre. Personne n'est totalement identique, et personne n'est totalement différent. C'est ainsi.
Il n'y a pas de race supérieure. Tout ça, c'est des conneries. On choisit pas son corps, sa famille, sa vie, rien. Alors pourquoi tant de violence, d'intolérance, d'irrespect ? Existe t-il au moins une personne responsable du physique avec lequel il est venu au monde, du prénom qu'on lui a donné ?

Hier encore, j'ai vu un homme en frapper un autre sous prétexte qu'il pouvait prendre une apparence animale contrairement à lui. Hier encore, j'ai entendu des métamorphes maudire la race humaine. Chaque jour, chaque nuit, une main s'élève vers le ciel, du sang gicle sur le sol et une vie se perd entre les deux.

C'était toujours comme ça à Londres. Malsain, violent, cruel... Tout le monde faisait semblant de ne rien savoir, de ne rien entendre, de ne rien voir. Pourtant l'horreur était là, sous leurs yeux. Moi, je nageais en plein dedans. La nuit, mes parents et moi étions parfois réveillé par des cris. Pas seulement humains, mais aussi bestiaux. Le jour, ce n'était pas vraiment différent. Dans mon quartier, en marchant il n'était pas rare de tomber sur de belles traces de sang décorant les murs. Et quand le responsable ne revenait pas pour nettoyer, on avait droit à l'intervention des flics qui bloquaient toute la circulation. Cet endroit, c'était l'enfer. Le taux de criminalité y était tant élevée que se promener seul signifiait obligatoirement risquer sa vie.

Moi-même, en treize ans passés la-bas, je me suis fait racketté, violenté, cambriolé... Mais ça, c'était rien par rapport au racisme que devait endurer les métamorphes. Il y en avait peu ; Ils devaient choisir entre partir ou mourir. C'était la loi du plus fort, et j'ai toujours détesté ça.

Mes parents étaient insupportables. Non pas qu'ils me maltraitaient ou se montraient durs avec moi, bien au contraire... Mais ils faisaient comme si tout allait bien, alors que nous manquions d'argent, de nourriture, de tout. Ils me souriaient toujours, essayaient de faire de moi un enfant gâté... Mais je ressentais inéluctablement notre pauvreté.

Enfin, on se débrouillait assez bien jusqu'à ce que mon père se mettent à claquer le peu d'argent qu'on avait dans l'alcool. Ma mère disait que ça lui passerait, qu'il était juste un peu malade, qu'il ne fallait pas lui en vouloir... Mais je l'entendais pourtant lui gueuler dessus le soir. En fait, mes parents se disputaient souvent. Jamais devant moi, certes, mais je les entendais quasiment tous les soirs. Des mots qui s'élèvent vers le ciel,  un regard qui s'abaisse vers le sol, et une confiance qui se perd entre les deux. Ça me rappelle vaguement quelque chose...

Il faut savoir que je n'étais pas un enfant facile. Je posais toujours des questions, sur tout et n'importe quoi. Je voulais tout comprendre, tout savoir... Et j'ai remarqué bien trop tôt que ma vie était injuste, honteuse. Je voyais tout d'un mauvais œil, parce que les seules choses que je n'ai jamais pu cerné sont mes parents. Ils m'irritaient plus que tout et lorsque l'adolescence me prit sous son aile, je fus longuement torturé par l'envie de partir.

Je ne supportais plus cette ambiance étouffante, cette routine accablante, cet appartement minuscule... Jusqu'à-ce que ma mère tombe sérieusement malade, lors de mes quatorze ans. Je ne l'avais pas vu venir, et j'étais été choqué en la voyant pâle comme la mort, toute transpirante dans ses draps roses.

Après ça, tout a changé. Il faut dire qu'un problème en a engendré un autre, et ainsi de suite. Ma mère a été hospitalisée, et mon père a perdu la raison. Il refusait de la laisser la partir, et en est venu à frapper gravement un ambulancier. Les flics sont venus, et il  a également tenté de les sortir de chez lui, sauf qu'on lui a bien rendu ses coups. Je ne le reconnaissais plus. C'était la première fois que je le voyais aussi violent. Même avec moi, il se comportait alors froidement, brutalement...

Pendant un mois, j'ai été pris en charge par une famille d'accueil. Je pensais que ma mère s'en sortirait mais elle était toujours faible, toujours alitée. Quant à mon père, il était bon pour quelque années d'emprisonnement. À partir de ce jour où j'ai quitté mon domicile, j'ai décidé de laisser pousser mes cheveux, jusqu'à-ce que tout redevienne comme avant. Aujourd'hui, j'ai conscience que c'est impossible, mais à l'époque j'y croyais fort.

La famille qui me logeait était très différente de la mienne, mais se montrait sympathique, chaleureuse. Là bas, ils semblaient tous heureux. Ils faisaient tout pour que je me sente à l'aise. Moi, je n'étais qu'un ado mal dans sa peau, bougon, désagréable, et la seule chose que je désirais à part revoir mes parents en pleine forme, c'était qu'on me laisse tranquille. Enfin, je ne les ais pas connu longtemps, car ma tante est rapidement venue me chercher. Elle venait des îles Orcades, en Écosse, et c'est là-bas que j'ai pu réellement profiter de ma vie.

La ville qui m'a accueillit mieux que n'importe quelle famille s'appelle Stromness. Je lui dois beaucoup, notamment la rencontre qui a donné un sens à mon existence...

Je vivais donc avec ma tante, une femme impulsive au fort caractère, pleine de bon sens. Elle m'a inscrit dans un collège environnant son appartement, et je me suis rapidement habitué à cette nouvelle vie.

Je n'ai jamais eu grand nombre d'amis. Il faut dire que j'étais très distant avec les autres, et mon regard souvent jugé terrifiant dissuadait mes camarades de m'adresser la parole.

Dans tous les cas, peu d'élèves suscitaient mon intérêt, voir aucun. Tous des idiots, des brutes qui, inéluctablement, me donnaient envie d'écraser leur grande gueule à coup de poings. 'Faut dire que j'étais craint pour ça, aussi. J'avais de la force, de l'expérience, et pour cause, le genre de quartier où j'ai grandi, cet endroit où tu es obligé de savoir te défendre pour pas te faire dévorer tout cru.

Je suis resté seul jusqu'à ce que je le rencontre, ce métamorphe....C'était une journée de cours comme tant d'autre, et alors que je faisais un tour au petit coin, d'étranges bruits sont parvenus jusqu'à mes oreilles. Des rires, de l'eau, des coups... Qu'étaient donc en train de faire ces abrutis ?! Je me posais la question tout en passant devant ces toilettes, dont la porte était restée ouverte pour permettre à tous ces petits cons de passer. En voyant ce qu'ils étaient en train de faire, j'ai senti la colère monter, bouillonner dans mon fort intérieur. Ces gars-là étaient en train de malmener un garçon visiblement un peu plus jeune que moi. Il était de petite taille, et ses cheveux étaient d'une remarquable couleur. Sans doute un métamorphe... Mais à mes yeux, ça n'expliquait pas cet acharnement dont faisaient preuve ses assaillants. J'aurais bien voulu frapper ces derniers à mort, mais je n'avais guère envie de me rabbaisser à leur niveau. Je me contentais de les bousculer violemment, prenant celui qui semblait être le leader par le cou pour le serrer aussitôt. Quoi ? J'avais dis pas de violence ? J'me rappelle pas. Ce dont je me souviens en revanche, c'est que les autres ont détalés comme des gros lâches en voyant le meneur devenir rouge écarlate sous la pression de mes doigts contre sa gorge.

Ah, c'était pas beau à voir. On aurait dit un crapaud sur le point d'exploser ; je l'aurais bien éclaté. Enfin, il y avait mieux à faire. Après qu'il ait décollé ses doigts impurs de la peau du plus jeune, je le relâchais d'un coup , le poussant vers la sortie avant de regarder le métamorphe. Sitôt que j'avais posé mon regard sur celui-ci, ma colère s'était envolée, remplacée par une certaine douceur que je ne saurais décrire.

“Ça va aller ?”

Tels étaient les premiers mots que je lui ai adressé, posément, avec une tendresse qui me semblait alors inconnue. Depuis quand étais-je capable de tels actes, de telles paroles ? Probablement depuis que j'ai croisé son regard amarante...

Calleïm, c’est son nom. Depuis notre rencontre, j’ai tout fait pour rester à ses côtés, au collège, puis au lycée. Je voulais toujours garder un œil sur lui et sur les petits cons qui tournaient autour. Cependant, la tâche n’a pas été facile. Il s’est montré distant, méfiant à mon égard, mais je m’arrangeais toujours pour éloigner les enflures de sa personne. Et puis, je n’ai jamais baissé les bras car à mes yeux, il était devenu mon protégé.

Un matin, j’ai remplacé la couleur châtain clair de ma chevelure pour un blanc aux reflets argentés, comme les cheveux de Calleïm. Ainsi, je voulais lui montrer qu’il n’était pas seul, et qu’il cesse de se sentir différent. J’ai gagné sa confiance et l’ai pris sous mon aile, avec le temps. Mon geste ne l’avait sûrement pas laissé indifférent.

Après le lycée, ma tante m’a laissé temporairement son appartement, le temps qu’elle rende visite à mes parents, à Londres. Je fus très perturbé durant cette période. Je mourais d’envie de la rejoindre, mais celle-ci me l’avait interdit, contrairement à nos habitudes. J’ai donc tout fait pour pouvoir voyager de mes propres moyens. Au départ, j’ai simplement arrêté mes études, un simple et regrettable caprice pour qu’on m’emmène là-bas. Puis, j’ai essayé de me faire de l’argent rapidement, chose qui me manquait terriblement.

J’ai donc repris contact avec le meilleur escroc que je connaisse : Dowson, un ami d’enfance. Il savait parfaitement comment pirater le compte bancaire d’une personne, par exemple. Et c’est par téléphone qu’il m’expliqua les bases de cette activité peu recommandable ; j’ai vite compris le principe, et me suis exercé plusieurs fois pour finalement parvenir à mon objectif.

Les premières sommes n’étaient pas des moindres, et grâce à ces dernières, j’entrepris donc un voyage pour Londres, avant que ma tante ne rentre.

Lorsqu’elle a ouvert la porte ce soir là, mes valises étaient déjà prêtes. Son visage était cerné, fatigué, ses yeux humides et je l’ai cru malade. Elle s’est laissé tomber sur le canapé, avant de m’annoncer une bonne et une mauvaise nouvelle. Enfin, ma tante semblait avoir été d’avantage affectée par la mauvaise, d’après son air de cadavre.

C’est sur un ton glacial qu’elle m’a annoncé la libération de mon père. Il allait bien, tant mieux. J’avais l’intention de le voir prochainement. Cependant… Ma mère a été emportée par sa maladie. Ce fut une véritable épreuve pour moi, qui m’aura certes endurci, mais également fait verser grand nombre de larmes. Jamais devant autrui bien sûr, pas même ma tante ou bien Calleïm, cela va de soi. À vrai dire, ça n’a quasiment pas changé mon attitude avec les autres, si ce n’est mon regard froid qui se manifestait plus souvent encore.

Après ça, j’ai hérité d’un certain nombre d’argent, ce qui m’a permis d’acheter un appartement digne de ce nom en centre ville. Je me suis aussi mis à travailler, car le pub de Stromness a accepté de louer mes services un soir sur deux.

Malgré ça, je n’ai jamais vraiment arrêté de pirater des comptes bancaires, me faisant toujours plus discret, toujours plus efficace et surtout, anonyme. Dowson m’avait vivement conseillé de continuer, qu’il m’aiderait si jamais j’avais des problèmes ; enfin, je ne lui ai jamais fait grandement confiance à ce propos, mais si j’arrive aujourd’hui à vivre convenablement, c’est en partie grâce à son aide.

Ainsi, ma vie suit son cours paisiblement, toujours à Stromness. Je vais très souvent voir Calleïm, passe beaucoup de temps avec lui, et parfois ma tante vient me rendre visite pour me donner des nouvelles de mon père ou bien pour me reparler de ma mère.

Aujourd’hui encore, je sais que rien ne redeviendra comme avant. On ne pas retourner dans le passé, et ce n’est plus là mon souhait. Une colombe qui s’envole vers le ciel, un genou qui s’abaisse vers le sol, et une détresse qui se perd entre les deux ; ainsi s’achève cette histoire.




La dignité s'immole à la tolérance.   [Weemyss Kyle] 51228420150728210731


Derrière l'écran ~ ;


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• Sexe ; féminin
• Cookies ou brownies ; Cookies ** (J'ai faim maintenant :I)
• Yaoi ou Yuri ; Yaoi *Q*

© Flyremoon.

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MessageSujet: Re: La dignité s'immole à la tolérance. [Weemyss Kyle]   La dignité s'immole à la tolérance.   [Weemyss Kyle] EmptyDim 2 Aoû - 13:01

Bien bien bien, je pense avoir fini ♥
J'ai complété l'histoire, et achevé les autres parties, la voilà prête pour la correction si nécessaire c:
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Houston J. Enzo

Fondateur

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• Ton boulot : Bosse dans une animalerie.
• Ta race : Métamorphe de Guépard
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MessageSujet: Re: La dignité s'immole à la tolérance. [Weemyss Kyle]   La dignité s'immole à la tolérance.   [Weemyss Kyle] EmptyDim 2 Aoû - 21:31

Bienvenue ! ♥

-seigneur, Squalo ♥-

J'aime autant ton avatar que ton personnage. J'ai bien rit à certains passages de l'histoire. De la violence ? J'ai dit pas de violence ? x'D

Bref. J'ai presque envie de l'ennuyer avec Enzo, hahw, y a moyen de faire quelque chose de cette jolie chevelure ♥

DONC. Je te valide, j'aime vraiment bien ton p'tit Kyky.

Je te souhaite bonne vie sur ce forum en espérant que tu t'y plaise. Ainsi, je t'invite à recenser ton avatar, à choisir un rang, à faire tout plein de choses et de faire beaucoup de yaoi

AU PLAISIR DE TE REVOIR SUR LA CB, AHW.
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