Houston J. EnzoFondateur
• Ta couleur : #a62c2c • Ton boulot : Bosse dans une animalerie. • Ta race : Métamorphe de Guépard • Messages : 32 • Date d'inscription : 28/06/2015 • Âge : 28
| Sujet: Hello, Darling ♥ ; Enzo { Terminé. Jeu 23 Juil - 23:23 | |
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• Sexe ; Masculin • Âge ; Vingt-quatre ans • Origine ; Anglaise • Race ; Métamorphe ○ Guépard • Sexualité ; Pansexuel • Groupe ; Pacifique • Travail ; Vendeur dans une animalerie • Personnage utilisé ; Gunji feat Togainu no Chi
• Ton repas préféré ; Boulettes sauce-tomate avec des frites. • As-tu un fétiche ; ... J'aime les papattes de chat. • Dr Pepper ou Coca ; Dr Pepper. • Grand ou petit ; Grand ? Attendez, c'est vachement tendancieux ce que vous dites. • Ton habit préféré ; Un bon vieux jeans. • Ta série préférée ; Game of Thrones. • Tu aimes le melon ? ; Non pas vraiment.
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Physique ;
Regarde-moi ce corps, cette démarche fière et cette posture impeccable, une taille ni trop petite ni trop grande. Parfaitement sculpté, pas trop de muscles, pas de gras. Aucune imperfection, lisse, claire. Je l’entraîne souvent, vous savez ? Je pense que c'est important de se sentir bien dans sa peau et c'est certainement pour ça que je me suis amusé à la rendre encore plus belle. Les marques qui occupent cette enveloppe charnelle ne sont pas là au hasard. Allant du tribal jusqu'aux symboles, mon corps en est recouvert. Mon cou, mes bras, mon dos, et ce, jusqu'à la raie de mes fesses. Tu voudrais les voir, n'est-ce pas ? Viens là, je peux te les montrer. Non, pas devant tout le monde, voyons... Allons plutôt dans un endroit calme, là où personne ne pourra nous entendre. Tu vois ce sourire ? Mes dents sont toutes aussi belles que cette peau que je chéris. Je n'ai jamais été chez le dentiste, incroyable n'est ce pas ? Mon secret ? Je n'en ai pas. Oh, sinon, ne t'en fais pas... Je ne compte pas te mordre.
Sinon... Je vois que tu aimes mes cheveux. Ils sont doux, je les lave souvent, ne les sèches pas et je ne fais même pas de soin. C'est ma couleur naturelle, tout à fait, je peux remercier les gênes du paternel pour cela. Ils retombent parfaitement et gracieusement sur mes épaules, comme tu peux le remarquer. Par contre, je ne pense pas que tu devrais être intimidé par mes yeux, Cher Inconnu. Tu aimes le bleu ? Tant mieux, ne t'en fais pas, dans ce cas, ils ne vont pas te quitter un instant. Le vernis est fait pour les filles, que tu dis... Mais je pense que c'est surtout pour souligner les traits, pour que tu puisses voir où mes doigts se glissent sur ton corps. Tu les sens, non ? Et bien, tu pourras bien les distinguer aussi. Ta voix est belle, séduisante. Pas autant que la mienne ? Quel flatteur tu fais... Retire-moi ce haut qui me gêne. Il n'est pas compliqué à retirer, tu sais, je porte souvent ce genre de gilet à capuche. J'aime le rouge, le bleu, le noir. Si tu aimes les costards, je pourrai faire un effort. Ce jean est également bien trop serrant à mon goût... Cependant, je dois admettre que tes mains font du bon travail, elles ne traînent pas à l'ouvrage. Elles sont peut-être un peu trop baladeuses, mais ce n'est pas un défaut. J'aime quand tu caresses les piercings qui ornent mes oreilles, ça me fait frémir. Mais tu sais, je pense que nous avons fini de parler. Place aux choses sérieuses, tu ne crois pas ? J'ai assez patienté ainsi et je suis sûr que tu as envie de rencontrer ce piercing qui orne ma langue.
Caractère ;
Tu m'as l'air bien fatigué. Je t'ai tant épuisé que ça ? Ne fais pas cette tête, je suis sûr que tu peux te redresser. Tu veux une cigarette ? Je viens de la rouler. Tu ne fumes pas ? Autant pour moi. Tu sais, ce petit jeu entre toi et moi était terriblement agréable. J'espère que tu t'en souviendras. Mais c'est vrai que tu voulais en connaître un peu plus sur ma personne. Je ne suis pas le genre de gars qui se prend la tête, je suppose que tu l'as remarqué. Oh, je t'ai fait mal... Tu dois avoir beaucoup de traces de griffes, je suis navré. Tu n'as pas de partenaire, j'espère ? Ce serait ennuyeux que tu viennes à avoir des problèmes. Sinon, je suppose que tu as remarqué que j'aimais la compagnie, les humains comme toutes les autres créatures me fascinent. Toutes ces réactions différentes ont quelque chose de fascinant, tu ne trouves pas ?
J'espère que la fumée ne te dérange pas, je vois que tu as du mal à reprendre ton souffle. Mh, rien de mieux qu'une bonne petite bouffée de nicotine pour se détendre un peu après le sexe. Pourtant, je ne fume pas tout le temps, non. Juste de temps en temps, ainsi, histoire de me soulager l'espace d'un instant. Je sais bien que ce n'est pas bon, mais on y peut rien. Je suis sûr que toi aussi, tu fais quelque chose que tu ne devrais pas, les êtres vivants sont ainsi, même prévenus, ils se risquent tout de même à faire ce qu'ils ne devraient pas.
Je suis quelqu'un qui aime aller de droite à gauche, tu as certainement pu le deviner. J'aime bouger, voir d'autres endroits, rencontrer des gens, faire des découvertes. Je ne prends que rarement ma véritable forme. Je pense d'ailleurs que tu as pu le voir, que je n'étais pas tout à fait humain, mh ? Des oreilles, une queue, des tâches qui parcourent de temps en temps mon corps, mes canines effilées qui semblaient te fasciner. Je suis plus à l'aise ainsi, beaucoup plus que lorsque je suis sous forme humaine. J'aime fouler le sol de mes pattes, sauter dans les arbres et guetter mes proies, observer les déplacements des autres personnes. C'est curieux, les réactions humaines.
J'aime par-dessus tout observer les espèces avant de les aborder. Tourner autour, appuyer sur quelques cordes pour trouver la plus sensible. Me faire des amis n'est pas la première chose à laquelle je pense. Si ce gars ou cette fille vient à m'apprécier, ça se verra automatiquement, tu ne crois pas ? Toi aussi, tu es curieux. Regarde, tu ne me connais pas et tu m'as laissé te faire toutes ces choses. Je suis sûr que tu voudrais boire un verre ou retenter un deuxième coup ? Ah ah, je vois qu'il te reste encore beaucoup d'énergie ! Oh, ne touche pas mes côtes, elles sont bien trop sensibles. Là, vas plus au niveau de mes hanches, je préfère. Le toucher est plus délicat et me procure bien plus de sensations. Le contact est vraiment une bonne chose, elle apprend à mieux nous connaître. Tu viens de trouver mon péché mignon, Darling, approche que je puisse te rendre la pareille. Tu vois, je suis particulièrement sensible, surtout lorsque tu uses de ta langue à cet endroit. Petit pervers, je ne parle pas de là, mais de mon cou. Tu aimes retracer mes tatouages ? Amuse-toi donc, je suis curieux de savoir ce que tu me réserves.
Que puis-je te raconter d'autre ? Oui, peut être ça... On pourrait me croire libertin. Les gens qui disent ça n'ont pas tout à fait tord. Mh. Pourtant, je suis capable d'aimer, vois-tu ? Ah, ouais. Ce sentiment curieux et si difficile à attraper. Tu vois la main que je tends, face à la Lune ? Je suis bien trop loin pour l'avoir. C'est un peu la même chose pour moi avec ce sentiment. Le jour où elle tombera entre mes doigts, je pourrais dire que je la garderais rien que pour ma propre personne, je ne la lâcherais pour rien au monde. Oui, cela pourrait paraître égoïste, mais que veux-tu, la vie est mal faite.
Enfin. Ne faisons pas dans le drama, veux-tu ? Que dire... Ah, j'aime boire. J'adore ça, même. Je ne serais jamais contre un petit verre d'alcool, d'ailleurs, j'ai bien mon bar préféré. Tu vois la ruelle là-bas ? Tourne à gauche et tu y es. J'aime aussi la bouffe, mais attention. Je ne parle pas d'une salade et des tomates, ah, je déteste les légumes. Je préfère la viande, presque fraîche. Tu poses le steak sur le feu, tu le retournes une ou deux fois et c'est bon. Je ne suis pas si compliqué que ça. J'aime aussi beaucoup ce qui est épicé, que ça soit du paprika ou du piment. En parlant de piment, tiens, je suis sûr que tu t'impatientes. Regarde-toi, tu me fais presque pitié avec cet air de chien battu. Allons, ne t'en fais pas. Laisse moi éteindre ma cigarette et reprendre depuis le début...
Histoire ;
Que fais-tu ici, my Dear ? Tu t'es égaré ? Ce n'est pas un endroit très fréquentable, pourtant. Tu ne devrais pas être là, tout comme moi. Mais je suis né ici, je connais les ruelles et les endroits qu'il faut éviter. Allez, suis-moi et papotons un peu tous les deux... Tu aimes cette ville ? Elle est belle, non ? À vrai dire, je ne connais pas beaucoup mes parents. J'ai pas mal voyagé dans cette ville sans toutefois rester dans les jupes de ma mère. Ah, regarde-moi un peu ce vieil appartement, là, à ta droite. J'ai passé un bon moment de ma vie là-bas. Mais à ce que je vois, maintenant, la verdure à reprit les droits. Il a toujours été minable, un peu trop renfermé sur lui même et pas fort propre. Mais il y faisait bon vivre. J'avais à manger, lorsque mon père ramenait de la nourriture que ma mère cuisinait en fredonnant cet air dont je me rappelle encore. C'était assez isolé, il n'y avait pas beaucoup de bruit et on pouvait ainsi, ne pas être dérangé par le voisinage. Je devais avoir dix ans, je pense. Je n'ai pas de souvenirs derrière tout ça.
Je m'adaptais un peu à l'environnement. À vrai dire, ayant grandit dans ce village, je ne pouvais que m'y adapter. Je vivais néanmoins enfermé dans cette pièce. Je n'en sortais pas beaucoup, j'observais les environs et préférait attendre le retour de mes parents afin de sortir quelques instants, jouant parfois avec les souris qui se baladaient dans la cour. J'ai toujours été très observateur, par contre, ils m'avaient caché l'existence de mon frère. Apparemment, celui-ci avait une quinzaine d'années au dessus de moi, mais je n'en avais pas la moindre idée. Pour moi, j'étais fils unique, je vivais correctement et recevais l'amour de mes parents. Les repas se déroulaient toujours en famille, autour de cette table de bois qui a certainement dépérit à l'heure qu'il est.
Asseyons-nous ici, tu veux ? L'histoire risque de durer un peu plus de temps que prévu. C'est en atteignant mes douze ans que j'ai voulu suivre mon père lors d'une de ses affaires. Lui était un serval, bien plus petit que ma race. Ma mère et moi étions des guépard, fins, vigoureux mais très fainéants. Je devais certainement tenir ma fierté de celle-ci, par contre j'ai pu hériter de la force de mon père, de sa perspicacité. J'avais quelques traits du serval, peut être mes oreilles qui semblaient être d'une taille un peu plus grande que celles des guépards habituels, des marques au niveau de la queue qui faisaient que j'étais différent. Un bâtard, en somme. Enfin. Je ne savais pas ce qu'il voulait à ce moment là, mais je l'avais suivit assez... Loin. Jusqu'à ce que je puisse sentir cette odeur. Elle était forte et l'endroit empestait de ces métamorphes. Je n'avais jamais eu quoi que ce soit envers nos compères, mais je peux te dire qu'à ce moment là, je ne pu que ressentir de la haine et cette envie de meurtre envers une seule et même personne. Je n'irais pas jusqu'à dire qu'ils sont tous pareils, loin de là. Les couinements et cris de mon père résonnaient dans ma tête, je ne pouvais qu'observer cette scène horrible se produire sous mes yeux. Un loup bien plus grand que la normale était en train de faire saigner un membre de ma famille.
Tout d'abord, je n'ai pas voulu croire qu'il était réellement mort. C'est lorsque je suis revenu auprès de ma mère que je réalisais à quel point la vie pouvait être cruelle. J'étais jeune et ne comprenais pas réellement ce que la vie coûtait, que n'importe quel chien pouvait nous assassiner froidement. Quand je suis rentré, à ce moment là, ma mère s'était ruée vers moi, me prenant dans ses bras. Elle était apparemment soulagée que j'aille bien. Néanmoins, je peux te jurer que je ne voulais plus jamais revoir son état lorsqu'elle a fini par apprendre ce qu'il venait de se produire. Ses cheveux s'étaient hérissés sur son crâne, ses yeux avaient changés. Je la retenais du mieux que je pouvais, après tout, s'ils avaient tué le paternel aussi « facilement », ils ne feraient qu'une bouchée d'elle.
Donc on a continué à vivre ainsi. Les jours se faisaient plus durs et je pouvais voir que ma mère se tuait à la tâche. On a déménagé dans un autre endroit, d'ailleurs. Viens, ce n'est pas loin d'ici. Suis-moi encore un peu. On a habité dans cette maison pendant trois ans, encore. Forcément, je sortais un peu plus, je me faisais des amis, des contacts. Je revenais en début de soirée pour pouvoir raconter mes folles aventures. Elle m'écoutait toujours, avec ce grand sourire qui arborait ses lèvres. Ah, qu'elle était belle ! Mais ça n'a jamais duré bien longtemps, tout ça. La preuve. J'étais revenu, un jour, en montant les petites marches devant le pas de la porte, j'étais partit vers la cuisine où elle avait l'habitude d'être, mais rien. Il n'y avait personne. Alors j'ai attendu, attendu. Je pense que je n'aurais jamais du autant attendre. Les voisins ne me voyaient plus. Jusqu'à ce qu'un homme vienne frapper à la porte. Je devais avoir quinze ans quand j'ai pu voir ses cheveux blonds, ses yeux bleus semblables aux miens. Il avait cet air que je pouvais reconnaître, comme s'il était de ma famille.
Et bien, ce gars là s'avérait être mon frère. Dingue, non ? Je n'avais jamais été mit au courant. C'est ainsi que je pu à nouveau changer de domicile. Je n'ai jamais réellement apprit ce qu'il était advenu de ma mère, non. Je ne préfère pas le savoir, en fin de compte. Tu vois les ruelles, là bas ? Non, pas celle-là. Plus loin, ici, près de cet arbre. C'est là que j'habite. Je suis toujours sous le même toit, habitant avec mon frangin. Il a beau être détestable, je pense que je pourrais compter sur lui à n'importe quel moment. Tu sais, il a cette fâcheuse et agréable manie de toujours vouloir me sur-protéger. Le genre de « Fais pas ça » ou de « range tes affaires » ou encore « Arrête de laisser traîner tes fringues partout » … Voir « Arrête de fumer, c'est pas bon pour la santé ! » … Ah. Qu'est-ce que je ferais sans lui ? Au début, je trouvais ça attachant, toutes ces petites choses qu'il faisait pour moi. Apparemment, il m'avait connu lorsque j'étais un bambin, tout juste capable de tendre les bras et de prononcer quelques mots totalement indiscernables.
Je me demande d'ailleurs parfois s'il me voit autrement que de cette façon. Enfin, pourtant j'ai bien la tête d'un adulte, non ? J'ai bien changé depuis, même un aveugle s'en rendrait compte ! Mais bon. À cet âge là, je ne m'occupais pas de toutes ces choses que j'ai rencontré par la suite. Effectivement, c'est vers mes dix-huit ans que j'ai fait mon premier piercing. Alors, je te dis pas la tête qu'il a tiré lorsqu'il a vu cet anneau à mon oreille droite. Il m'avait demandé ce que c'était, en me le pointant du doigt. Ahah, une vraie mère poule ! Mais bon, après un soupir, le voilà qui était en train de ruminer dans ses babines, à pester comme un putois. Enfin, c'est pas comme si je l'aimais pas. C'est pour ça que j'en ai fait un deuxième, puis un troisième, un quatrième. Allen trouvait toujours à redire sur ce « style » que je commençais à avoir. Ah ? Ah oui, c'est son nom, ne te l'avais-je pas dit ? Et bien, maintenant tu le sais. Je fréquentais la boutique d'en face bien trop souvent à son goût. Bah, j'avais de bons amis là bas. C'était chez le tatoueur du coin, il m'avait percé les oreilles et la langue.
Ce soir là, je m'étais fais engueuler comme de la merde, d'ailleurs. Ma langue avait un peu enflé, il s'était plaint au responsable et souhaitait que je l'enlève. Mais bon, je suppose que tu te doutes que j'ai refusé, ça allait bien s'habituer un jour ou l'autre ! Et effectivement, j'avais tout juste. Lui, de son côté, ne parvenait plus trop à me faire entendre raison mais en même temps, continuait de me percevoir de la manière dont il m'avait au final, toujours vu. Puis j'ai eu mon premier tatouage en même temps que ma première relation sexuelle à mes vingt-ans. Ça faisait déjà cinq ans que j'habitais avec Allen et je le vivais plutôt bien. Il n'avait pas relâché les rennes, on continuait de s'envoyer des piques et d'ailleurs, ça continue toujours. C'est un peu comme une preuve d'amour, tout ça, tu vois le genre ?
J'allais et je venais, je gravais ma peau pendant que la vie continuait tout en gambadant de droite à gauche. Hommes, femmes. Oh, ne t'imagine pas que j'ai déjà été soumis, ah ça non ! Ma virginité n'est pas prête de déguerpir. Pourquoi, tu étais tenté ? Ahah ! Quelle triste mine tu fais. Non, je préfère largement pouvoir contrôler la situation, quelque ce soit l'endroit, le moment ou la personne. D'ailleurs, je me demande bien ce que mon frangin pourrait penser, s'il savait que je n'étais plus puceau depuis longtemps. Mh ? Bon. Je pense en avoir dit assez sur ma vie. Tu sais, entre mes vingt ans et les vingt-quatre que j'ai pour le moment, il ne s'est rien passé grand chose. Je vais et viens, par-ci par-là.
Et bien, nous y sommes. C'est ici que ma vie s'achève pour le moment. Oui, devant cette animalerie. Je suis sûr que tu veux y entrer et aller voir les chatons qui ont besoin de quelqu'un pour s'en occuper... Viens, entre, regarde celui-là. N'est-il pas adorable ? Ses yeux bleus et son pelage doré est à croquer, ça pourrait te faire un beau souvenir de cette ballade... Qu'en dis-tu ?
Flyremoon ;
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